Étiqueté : Correspondance
Le projet « Lettres de Marie-Antoinette » (LMA) vise à inventorier et rendre accessible en version numérique la correspondance active de Marie-Antoinette. Les lettres sont conservées dans des fonds publics en France et à...
Catriona Seth, professeur à l’université d’Oxford et à l’université de Lorraine. Parlez-nous de votre ouvrage « Marie-Antoinette. Lettres inédites » paru aux éditions Albin Michel en octobre 2019 Le livre comprend la totalité des lettres et billets...
Les journées d’études interdisciplinaires des 21 et 22 janvier vont venir clôturer le projet de recherche initié autour du décryptage des lettres échangées entre la reine Marie-Antoinette et Axel Fersen, rendre compte des résultats...
La vie de Marie-Antoinette cache encore bien des secrets. Depuis plus de deux siècles, l’on se demande ainsi si elle a réellement vécu une histoire d’amour avec le comte Axel de Fersen, gentilhomme suédois....
Durant la période si particulière qu’a été le confinement, Monsieur Didier Doré, membre Bienfaiteur de la Société des Amis de Versailles, a offert deux documents du XIXème siècle qui rejoindront bientôt les archives du...
Pendant une année, entre fin juin 1791 et fin juin 1792, alors que la famille royale est en résidence surveillée aux Tuileries, la reine Marie-Antoinette et le comte de Fersen ont entretenu une correspondance...
La correspondance de Marie-Antoinette devenue pleinement Reine évolue dès 1785. Cette femme qui n’a ni le goût de l’écriture ni de la lecture change son rapport à la pratique épistolaire. Reine scélérate accusée de tous les crimes, elle trouve dans l’écriture une nécessité d’ordre vital et un moyen de se défendre contre les attaques les plus virulentes. Ces lettres révèlent une femme au caractère et à la personnalité bien plus complexes.
Une correspondance qui dura de l’arrivée en France de la jeune Dauphine de 14 ans en 1770 à la mort de l’Impératrice d’Autriche en 1780. Des lettres qui sous l’œil de Vienne révèlent la double influence subie par Marie-Antoinette : celle de sa mère, l’impératrice Marie-Thérèse, et celle de l’ambassadeur d’Autriche en France, Mercy-Argenteau, en qui Marie-Thérèse a toute confiance.