Acquisition de deux carnets de dessins et croquis
Grâce au mécénat de MM. Olivier Obst et Frank Troncoso, la Société des Amis de Versailles a récemment offert au Château deux carnets de dessins et croquis, réalisés vers 1698 par les ducs d’Anjou...
Les appartements intérieurs de Marie-Antoinette du deuxième étage nouvellement restaurés accueillent plusieurs mécénats de la Société des Amis de Versailles.
Peinture, sculpture, vaisselle, tissus, mobilier, objets d’arts, découvrez la variété des projets de mécénat de la Société des Amis de Versailles, autant en acquisition qu’en restauration !
Ces petits appartements ne peuvent être visités que dans le cadre de visites guidées. Dans son programme d’activités Automne 2023, la Société des Amis de Versailles propose la visite des cabinets privés !
Ces visites étant limitées à dix personnes, en raison de la forte demande, il n’est pas possible de réserver votre place immédiatement sur internet. Nous vous invitons à vous inscrire en liste d’attente.
Nous nous efforcerons de satisfaire toutes les demandes !
Restauration grâce au mécénat de Mme Adolphine Odile Monrocq par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 2008.
La restauration du second étage des cabinets intérieurs de la Reine s’inscrit dans un long processus engagé en 1985 avec le reconstruction de cet étage détruit sous Louis-Philippe. En 2023, le château de Versailles propose au public de redécouvrir ces cabinets intérieurs après une nouvelle phase de restauration. Les recherches conjointes des conservateurs et des archivistes, ainsi que le savoir-faire et le généreux mécénat de la Maison Pierre Frey a permis de restituer les toiles de Jouy. En 2008 déjà, une première restitution du décor de toiles imprimées ou « perses » à motifs exotiques, commandées par la Reine à la manufacture royale de Jouy, était réalisée grâce au soutien de Madame Monrocq par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles. Du fait de la restitution des années 2020, ces décors ne sont plus visibles.
Le lieu concerné par la restauration est le petit appartement de Marie-Antoinette, situé dans les appartements intérieurs de la Reine, au 2e étage du Château, juste au-dessus du Cabinet doré. Cet appartement comprend une bibliothèque, un billard (commandé en 1779) et d’autres pièces (aménagées dans les années 1780) : une salle à manger, un cabinet de retraite et des pièces pour la première femme de chambre de la Reine ainsi que le Service de la Reine.
Le décor d’époque, fixé dès 1780, est composé de taffetas blanc d’Angleterre afin de doubler les rideaux et les portières en perse. Les tissus à bordures à palmes furent fabriqués spécialement pour le Château de Versailles entre les années 1775 et 1780 par la Manufacture Le Manach, située à Tours. Les tissus à décor perse étaient, eux, produits par la Manufacture de Jouy, à proximité de Versailles, connue pour ses motifs de personnages, mais aussi pour ses floraux avec des indiennes et des perses.
En 2008, l’équipe de restauration s’était basée sur un document original de la collection de Le Manach afin de réaliser un dessin qui a ensuite été colorisé. Les restaurateurs ont choisi un fond vert afin que le contraste original entre la tenture perse à fond blanc et la bordure verte soit retrouvé. Le choix d’époque avait en effet été, en 1786, une perse à fond blanc. De plus, un inventaire de 1784 du cabinet de retraite situé près du billard nous indique que les fauteuils et le lit à la Turque étaient recouverts de fines toiles de Jouy à décor floral.
Le textile, en particulier celui au décor floral, est ce qui aborde le mieux le goût de Marie-Antoinette. Le décor des pièces reflète en effet le côté hiérarchique des espaces de vie. Le perse est réservé aux salles d’honneur, où vivent la Reine et sa dame d’honneur. Le décor dit tamerlan par Le Manach, plutôt vermiculé et comprenant également une bordure est, lui, affecté aux pièces secondaires ou latérales, où vivait le Service de la Reine.
Peu de documents d’archives existent pour attester la présence de la Reine dans ces appartements, mais les Mémoires de Madame Campan, première femme de chambre de Marie-Antoinette entre 1774 et 1792, nous renseignent sur les pièces de ceux-ci : ils étaient composés d’une antichambre, d’une chambre et d’un cabinet. En cas de maladie de la Reine, sa première femme de chambre et sa première dame d’honneur résidaient également dans cet appartement.
Restauration grâce au mécénat de Lady Michelham of Hellingly par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 1991.
Le billard de Marie-Antoinette est une petite pièce sous combles au niveau de la voussure de la chambre de la Reine et ouvrant par trois fenêtres sur la cour de la Reine. En 1779, Marie-Antoinette fit recouvrir les magnifiques boiseries conçues par Verbeckt pour la femme de Louis XV et commander à Gondoin, pour tendre les murs et couvrir les sièges, une extraordinaire soierie brochée à dessins d’arabesques sur laquelle étaient rebrochés des médaillons de six dessins différents.
Lady Michelham of Hellingly offrit très généreusement de reconstituer une pièce de l’appartement de Marie-Antoinette et son choix se porta sur le billard. Ainsi restaurée, cette pièce des cabinets les plus privés de la Reine est certainement l’une des plus somptueuses du château.
Restauration grâce au mécénat de Lady Michelham of Hellingly par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 1983.
Deux canapés furent livrés vers 1783 par Jacob pour compléter un mobilier plus ancien, œuvre de Folliot, de 1779, primitivement placé dans le grand cabinet intérieur de la reine, à présent appelé cabinet doré. L’ensemble ainsi augmenté vint meubler une autre pièce des cabinets de la reine, le billard du second étage, où fut également réutilisée la magnifique tenture de soierie que l’on a de nos jours retissée. On admirera tout particulièrement la délicatesse des ornements floraux, si évocateurs des goûts de la souveraine. De nos jours, le billard a été reconstitué, de telle sorte que les deux canapés, acquis en 1983, ont pu retrouver leur emplacement d’origine.
Don de la Société des Amis de Versailles en 1988.
Charles Leclercq étudia la peinture à Bruxelles avec son père Antoine Joseph, ainsi que dans l’atelier du Brugeois Bernard Verschoot. Le 30 avril 1773, il obtenait le premier prix de dessin d’après nature à l’Académie de peinture et de sculpture de Bruxelles. Il prétendit alors à un séjour à Rome, qu’il réalisa en 1776. Il suivit ensuite à Paris les cours de l’Académie. Apprécié de ses contemporains pour « son coloris brillant, ses airs de tête fins et délicats, sa touche spirituelle et légère », il connut un vif succès. Bouquier relate ainsi que ses tableaux étaient immédiatement vendus à peine terminés. Un portrait signé, localisé et daté de 1781 révèle que Leclercq était cette année-là à Turin. Il se qualifiait alors de peintre flamand au service de Sa Majesté la Reine de France. Cité à Paris en 1783, il regagna ensuite Bruxelles, où il se maria, puis revint à Paris de 1787 à 1790 et enfin rentra définitivement en Flandre.
Les œuvres de Charles Leclercq sont pour la plupart de petites dimensions et se caractérisent par la façon dont l’artiste fouille le moindre détail, à l’exemple d’un miniaturiste. Le portrait de la comtesse d’Artois (Turin 1756 – Gratz 1805) et ses enfants met en scène ces personnages aux allures de poupées dans un intérieur de fantaisie au mobilier résolument néoclassique. Une autre version autographe de ce tableau fut offerte probablement par la reine au marquis Raymond Pierre de Bérenger (1733-1806), chevalier d’honneur de la dauphine et de la comtesse de Provence (château de Sassenage).
Plusieurs autres portraits des membres de la famille royale, représentés ou non en compagnie de leurs enfants, sont connus. Par leurs sujets et leurs dimensions, ces œuvres constituaient d’agréables petits morceaux de peinture que les membres de la famille royale aimaient à s’échanger ou à offrir à leurs proches. Plusieurs versions d’une même composition furent par conséquent parfois demandées au peintre.
Don de MM. Jérôme Plouseau et Christophe Caramelle par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 2008.
Ce biscuit de Sèvres, l’Enfant aux coussins, représente Madame Royale, Marie-Thérèse Charlotte de France, née à Versailles le 19 décembre 1778. Le biscuit fut modelé par Louis-Simon Boizot ou tout au moins sous sa direction d’après un original de Clodion.
Il fut vendu à très peu d’exemplaires. Les registres de la Manufacture ne relèvent que 5 ventes dont une au roi et une à la reine. Ce biscuit est réédité à partir de 1881 et régulièrement jusqu’en 1923 et même jusqu’en 1950. En outre, Sèvres avait édité un groupe en 1782-1783 représentant Mme Royale et le dauphin jouant sur un carreau, groupe annonçant le tableau de Mme Vigée Le Brun du Salon de 1785.
Restauration grâce au don de Monsieur William ISELIN et ISELIN ART ADVISORY LTD, avec la participation de la Société des Amis de Versailles en 2021.
L’art de tourner l’ivoire pour réaliser des objets en cette matière était un des passe-temps de Louis XV mais aussi de Mesdames ou de Louis XVI. A cet effet, des salles avaient été aménagées en cabinet du tour dans les cabinets privés du roi ou dans les arrières cabinets des appartements de Mesdames à Versailles. Cette pendule en ivoire ajouré à colonnes et surmontée d’une cassolette a vraisemblablement été saisie au château de Bellevue, propriété des Mesdames Adélaïde et Victoire. Une pendule très proche qui avait été inventoriée parmi les pendules de Marie-Antoinette et correspond probablement à celle aujourd’hui conservée au musée de l’Ermitage de Saint Pétersbourg. L’une et l’autre passent pour avoir été tournées par Louis XV.
La restauration de cette pendule d’une très grande rareté conservée depuis de nombreuses années en réserve, a été programmée par Hélène Delalex, conservateur en charge de la collection, dans le cadre de sa future présentation dans l’exposition Louis XV qui ouvrira au château de Versailles fin 2022, puis de son installation dans la salle à manger des cabinets intérieurs de la Reine au deuxième étage du corps central du Château.
Acquisition grâce au mécénat du Fonds du Patrimoine, de la Versailles Foundation, des arréages du legs Hérisson, de la Société ABN AMRO France par l’intermédiaire des Amis de Versailles, du fonds du Mécénat de Versailles et d’un donateur anonyme en 1997.
Portant l’estampille de Martin Carlin, le coffre à bijoux de la Dauphine Marie-Antoinette a été créé par le marchand-mercier Simon-Philippe Poirier. Il est monté sur un piétement dissimulant une écritoire et réalisé en placage de bois de rose et de sycomore.
D’une grande délicatesse, le décor associe des plaques de porcelaine de Sèvres qui en soulignent la structure et des bronzes dorés dont le motif de franges. Ce n’est pas sans rappeler les scabellons d’André-Charles Boulle pour le Grand Dauphin. Il a été très probablement l’objet d’un présent de noces à la nouvelle Dauphine par le roi Louis XV.
Don de la Société des Amis de Versailles en 2001.
La vente de porcelaines de Noël 1783 proposait un service fabriqué pour cette exposition sous la désignation « cartels de fleurs sur terrasses et fleurettes » que la comtesse de Provence acheta quelques jours plus tard. Il s’agissait d’un service pour le fruit, assez important puisqu’il comprenait 48 assiettes. Richement rehaussé d’or, le décor est formé d’une large frise de fleurettes ponctuée de cartels qui présentent, comme le médaillon central, un buisson fleuri sur un tertre. Le seau à glace et deux compotiers de ce service ont rejoint quatre assiettes dans les collections du château.
Tandis que les compotiers, qui peuvent être ovales, carrés ou en coquille, faisaient partie de la mise en scène de la table, les seaux à glace, posés sur les dessertes, permettaient de maintenir au froid les sorbets ou neiges contenus dans une doublure intérieure entre la couche de glace d’eau du fond et celle du couvercle. On y remplissait les tasses à glace avant de les apporter promptement, par six ou sept sur leur soucoupe à pied, aux convives.
Acquisition grâce au mécénat de la Société des Amis de Versailles en 2002.
La vente de porcelaines de Noël 1783 proposait un service – fabriqué pour cette exposition – sous la désignation « cartels de fleurs sur terrasses et fleurettes » que la comtesse de Provence acheta quelques jours plus tard. Il s’agissait d’un service pour les fruits, assez important puisque qu’il comprenait 48 assiettes. Richement rehaussé d’or, le décor est formé d’une large frise de fleurettes ponctuée de cartels qui présentent, comme le médaillon central, un buisson fleuri sur un tertre.
Le seau à glace et deux compotiers de ce service ont rejoint quatre assiettes dans les collections du château. Tandis que les compotiers qui peuvent être ovales, carrés ou en coquille, faisaient partie de la mise en scène de la table, les seaux à glace, posés sur les dessertes, permettaient de maintenir froids les sorbets ou neiges contenus dans une doublure intérieure entre la couche de glace d’eau du fond et celle du couvercle. On y remplissait les tasses à glace avant de les apporter promptement, par six ou sept sur leur soucoupe à pied, aux convives.
Don de la Société Altran par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 1997.
Acquise en 1997. Don de la Société Altran par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles.
Le service « fond vert à groupes de fleurs » livré en décembre 1773 pour la comtesse d’Artois était dit « service particulier » car il était à son usage exclusif ; c’est pourquoi les pièces personnelles n’existaient qu’en double (coquetiers, salières, seaux à bouteilles et à verre) alors qu’un autre service, destiné aux « personnes qui mangent avec la princesse », avait été livré en même temps. Les cartels ornés de fleurs sont délimités par un encadrement de motifs végétaux très élaborés peints à l’or.
Don de Madame Anne-Marie Rohfritsch par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 1999 (tasse de droite) et don de la Société des Amis de Versailles en 2001 (tasse de gauche).
Pièce d’un service à » double filet bleu, roses et barbeaux » ; l’un des deux livrés respectivement à la reine Marie-Antoinette au cours du premier semestre 1781 et à la princesse de Lamballe le 9 février 1781.
Dans un repas à la française, on apportait, au cours du quatrième service appelé le fruit, les glaces ou sorbets dans ces petites tasses à pied et à anse disposées sur de grandes soucoupes.
Marie-Antoinette et son amie la princesse de Lamballe ont acquis au début de l’année 1781 des services à dessert identiques comprenant principalement 48 assiettes et 36 tasses à glace, dont le décor, dit « double filet bleu, roses et barbeaux », associe le bleuet et la rose, fleurs emblématiques du goût de la fin du XVIIIe siècle mais dont la représentation reste de fantaisie.
L’assiette montre bien le parti de décor sur l’aile faisant la part belle au fond blanc de grande qualité obtenu par la Manufacture royale.
Acquisition grâce au mécénat de la Société des Amis de Versailles en 2001.
Pièce d’un service à » double filet bleu, roses et barbeaux » ; l’un des deux livrés respectivement à la reine Marie-Antoinette au cours du premier semestre 1781 et à la princesse de Lamballe le 9 février 1781. Anc. coll. de M. Charles-Otto Zieseniss. Achat en vente publique, Christie’s, Paris, 5-6 décembre 2001, lot 256, avec la participation de la société des Amis de Versailles.
Acquisition grâce au mécénat de Messieurs Jérôme Plouseau et Christophe Caramelle, avec la participation de la Société des Amis de Versailles en 2022.
Il s’agit d’un seau à verre crénelé ovale en porcelaine, de la Manufacture de Sèvres. Il fait partie du service zone bleu livré à la comtesse d’Artois le 1784 à décor polychrome de semis de fleurettes entre deux galons à fond bleu ornés de perles d’or. Ce service comprenait 36 assiettes à 18 livres chacune, huit compotiers, deux sucriers, sept tasses à glace et leur plateau, deux plateaux à confitures, deux seaux à demi-bouteille, un seau crénelé et un seau à glace. Le seau à verre crénelé est marqué par les LL entrelacés, et présente la signature du peintre Henri-Germain Boileau fils ainé.
Don de M. et Mme Edouard de Royère par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 2013.
Cette bergère provenant du Garde-Meuble de la Reine, est un don de la Société des Amis et Versailles et du comte Edouard de Royère en avril 2013.
De forme cabriolet, en bois peint en gris, simplement moulurée, elle repose sur des pieds cannelés rudentés comme les supports d’accotoir. Seules des rosaces dans les dés de raccordement de la ceinture viennent animer son dessin très graphique. L’élégance de la courbe continue qui lie les accotoirs au dossier en anse de panier révèle un siège sorti d’un atelier de qualité, et il n’est pas étonnant de trouver à sa ceinture l’estampille circulaire caractéristique d’Adrien-Pierre Dupain. Mais c’est l’étiquette qu’elle porte à l’intérieur des traverses qui en fait tout l’intérêt : « M. Bonnefoy / Garde-Meuble de la Reine ».
A défaut d’un numéro d’inventaire – les sangles d’origine ne semblent pas conservées – et en l’absence des archives du garde-meuble privé de Marie-Antoinette, il est aujourd’hui impossible de savoir à quel appartement et à qui elle était destinée. Il ne s’agissait assurément pas de la reine elle-même, la simplicité du siège excluant un tel destinataire. Elle devait être plus certainement destinée à un appartement de suite réservé au service de la reine, dames d’honneur ou premières femmes de chambre. Les registres des ventes révolutionnaires révèlent en provenance de Trianon plusieurs mobiliers composés d’une bergère et de deux chaises, dont ce siège a dû faire partie.
Le château de Versailles avait déjà acquis en 2002, avec la participation de la Société des Amis de Versailles, une bergère et deux chaises portant l’estampille de Georges Jacob qui ont conservé leurs sangles portant un numéro d’inventaire de Trianon (V 5942 et V 5943). Ces sièges sont proches, par leur aspect, de la bergère de Dupain et devaient correspondre au même type d’affectation.
Quatre fauteuils et deux chaises, également estampillées de Jacob, légèrement plus riches dans leur sculpture, et portant sur leurs sangles les marques du Garde-Meuble de la Reine avaient été acquis par le château en 1988 (V 5279.1-4 et V 5280.1-2). La confrontation de ces sièges commandés par Pierre-Charles Bonnefoy du Plan (1732-1824), concierge de Trianon et garde des meubles de la Reine, révèle les subtiles variations apportées dans la constitution d’ameublements destinés à l’entourage de Marie-Antoinette.
Don de M. Pascal Monté et de Mme Anne Couterne par l’intermédiaire de la Société des Amis de Versailles en 2019.
Jeton en argent de la maison de la Dauphine Marie-Antoinette, gravé par Pierre-Joseph Lorthior.
« Le Roi Tourneur », par Lucie Nicolas-Vullierme, publié le 7 mars 2022
« Marie-Antoinete en ses demeures », par Jean-Christian Petitfils, publié le 15 juillet 2020
« Henriette Campan, Mémoire d’une jeune fille », par Geneviève Haroche-Bouzinac, publié le 14 Septembre 2018